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Novembre
Information : Non au harcèlement
Par Sandra Genevois • Publié le 16/11/2021
Par Sandra Genevois • Publié le 16/11/2021
Non au harcèlement !
Ce n'est pas parce qu'on est petit qu'on a de petits problèmes.
Même dans une petite école nous ne sommes pas à l'abri de situations de harcèlement.
Nous avons tous un rôle à jouer pour lutter contre le harcèlement: équipe éducative, partenaires de l'école, parents et enfant.
Pour tout renseignement:
www.nonauharcelement.education.gouv.fr
N° VERT « NON AU HARCÈLEMENT» : 3020
Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 20h et le samedi de 9h à 18h (sauf les jours fériés)
Mon enfant est victime de harcèlement: que faire?
Si votre enfant subit de façon répétée des violences verbales et/ou morales (surnoms méchants, insultes, moqueries, brimades, rejets du groupe…), des violences physiques (bousculades, coups), des vols, il est victime de harcèlement. Lorsque ces mêmes faits se déroulent sur les réseaux sociaux, par SMS ou par courriel, on parle de cyberharcèlement. Les conséquences peuvent être graves (baisse des résultats scolaires, perte de l’estime de soi, décrochage scolaire, profond mal être).
Aucun enfant, aucun adolescent ne doit subir cela, personne ne doit rester silencieux !
Que pouvez-vous faire ?
Il faut en parler pour trouver de l’aide et des solutions !
Prenez rendez-vous avec la direction de l’école, du collège ou du lycée. Exposez en détail ce que subit votre enfant. Vous pouvez vous aider de la fiche de repérage pour noter ce que vous avez constaté. Demandez quelles sont les actions menées, les mesures prises pour protéger votre enfant et les réponses proposées pour prendre en charge le problème.
Si la situation est avérée, l’établissement scolaire mettra en œuvre, avec vous, les solutions adaptées pour que votre enfant ne subisse plus cette violence.
Informez-vous régulièrement sur le suivi de la situation de votre enfant ainsi que sur les actions menées au sein de l’établissement pour lutter contre le harcèlement.
Contactez un délégué de parents d’élèves pour réfléchir au partenariat possible entre les parents d’élèves et l’établissement pour prévenir le harcèlement et améliorer les relations entre élèves.
Si vous hésitez à joindre l’établissement ou que la résolution du problème vous semble lente, vous pouvez contacter le référent harcèlement académique en utilisant le numéro vert 3020.
Votre enfant peut craindre de parler : rassurez-le, demandez-lui ce qu’il souhaite, expliquez-lui que les adultes sont là pour l’aider et faire cesser la violence qu’il subit.
Agissez pour que cette violence ne touche plus votre enfant ou d’autres enfants
Identifiez le plus précisément possible la nature des problèmes vécus par votre enfant. Dialoguez ouvertement pour connaître : faits et éventuels auteurs et témoins. Le harcèlement est souvent constitué de petits incidents qu’il est utile de mettre par écrit afin de mieux cerner la situation. Notez la date, l’heure, les personnes présentes, la description des faits, leur répétition, les réactions de votre enfant face à cette situation. Gardez aussi les preuves éventuelles du harcèlement subi, notamment sur les médias sociaux (capture d’écran…). Si besoin, faites-vous aider par un délégué des parents.
Ce qu’il est déconseillé de faire
Ne tentez pas de gérer vous-même le problème, ni de contacter l’auteur des faits : cela pourrait aggraver la situation.
Si vous avez besoin de conseils complémentaires, contactez le :
N° VERT « NON AU HARCÈLEMENT» : 3020
Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 20h et le samedi de 9h à 18h (sauf les jours fériés)
Mon enfant est victime de cyberharcèlement
Les enfants et les adolescents passent beaucoup de temps sur internet, sur leur téléphone et leur ordinateur. Ils échangent avec leurs pairs, notamment des contenus (images, vidéos, etc.), via les réseaux sociaux mais également les jeux en réseau.
Si votre enfant subit des violences sur internet (réseaux sociaux, courriel) et sur son téléphone portable, on parle de cyberviolences. Souvent, les violences en ligne s’enracinent dans des phénomènes de violence existant au sein du groupe de pairs. Si ces cyberviolences – insultes, moqueries, humiliations, menaces, diffusion de rumeurs et/ou d’informations à caractère privé, usurpation d’identité, etc.- sont intentionnelles et se répètent, on parle de cyberharcèlement.
Si votre enfant ne parle pas de violences subies mais qu’il se replie sur lui-même, s’il a des réactions inhabituelles lorsqu’il consulte son téléphone portable par exemple, s’il semble isolé, s’il est nerveux, anxieux, fatigué, s’il rencontre des problèmes de sommeil ou des troubles du comportement alimentaire, il peut être victime de harcèlement ou de cyberharcèlement.
Les conséquences du harcèlement et du cyberharcèlement peuvent être graves (isolement, perte de l’estime de soi, baisse des résultats scolaires voire décrochage, profond mal-être).
Aucun enfant, aucun adolescent ne doit subir cela, personne ne doit rester silencieux !
Que pouvez-vous faire ?
Il faut en parler pour trouver de l’aide et des solutions !
Signalez les contenus, les messages, les commentaires qui portent atteinte à votre enfant. La plupart des réseaux sociaux (Facebook, Instagram, Snapchat, Twitter, YouTube…) permettent de signaler les cyberviolences, mais les enfants et les adolescents ne le savent pas toujours. Si vous avez du mal à trouver les formulaires en ligne, vous pouvez vous connecter à la plateforme Pharos (www.internet-signalement.gouv.fr) ou au site Point de contact (www.pointdecontact.net) pour signaler les contenus illicites.
Prenez rendez-vous avec l’école, le collège ou le lycée de votre enfant afin de faire part de la situation, de manière détaillée. Généralement, le cyberharcèlement est lié à des violences entre pairs : des élèves peuvent être impliqués. L’équipe éducative pourra vous aider à prendre en charge la situation, à accompagner votre enfant et à trouver des solutions si ce sont d’autres élèves qui sont auteurs des cyberviolences.
Vous pouvez agir avec votre enfant en l’encourageant à parler de ce qu’il vit, en lui demandant ce qu’il souhaite.Vous pouvez lui expliquer que les adultes sont là pour l’aider et faire cesser les violences qu’il subit. Vous avez le droit de déposer plainte.
Agissez pour que cette violence ne touche plus votre enfant ou d’autres enfants
Identifiez le plus précisément possible la nature des problèmes vécus par votre enfant. Dialoguez ouvertement pour connaître les faits et les éventuels auteurs et témoins, qui sont parfois identifiables sur internet. Le cyberharcèlement est constitué de plusieurs types d’incidents : réalisez des captures d’écran des situations qui, en ligne, portent atteinte à votre enfant. Si besoin, faites-vous aider par un représentant des parents d’élève ou un membre de l’équipe éducative.
Ce qu’il est déconseillé de faire
Ne tentez pas de gérer vous-même le problème en contactant le ou les auteur(s) des faits : cela pourrait aggraver la situation.
Si vous avez besoin de conseils complémentaires, contactez le :
N° VERT « NET ÉCOUTE » : 3018
Gratuit, anonyme, confidentiel et ouvert du lundi au vendredi de 9h à 19h
Ce n'est pas parce qu'on est petit qu'on a de petits problèmes.
Même dans une petite école nous ne sommes pas à l'abri de situations de harcèlement.
Nous avons tous un rôle à jouer pour lutter contre le harcèlement: équipe éducative, partenaires de l'école, parents et enfant.
Pour tout renseignement:
www.nonauharcelement.education.gouv.fr
N° VERT « NON AU HARCÈLEMENT» : 3020
Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 20h et le samedi de 9h à 18h (sauf les jours fériés)
Mon enfant est victime de harcèlement: que faire?
Si votre enfant subit de façon répétée des violences verbales et/ou morales (surnoms méchants, insultes, moqueries, brimades, rejets du groupe…), des violences physiques (bousculades, coups), des vols, il est victime de harcèlement. Lorsque ces mêmes faits se déroulent sur les réseaux sociaux, par SMS ou par courriel, on parle de cyberharcèlement. Les conséquences peuvent être graves (baisse des résultats scolaires, perte de l’estime de soi, décrochage scolaire, profond mal être).
Aucun enfant, aucun adolescent ne doit subir cela, personne ne doit rester silencieux !
Que pouvez-vous faire ?
Il faut en parler pour trouver de l’aide et des solutions !
Prenez rendez-vous avec la direction de l’école, du collège ou du lycée. Exposez en détail ce que subit votre enfant. Vous pouvez vous aider de la fiche de repérage pour noter ce que vous avez constaté. Demandez quelles sont les actions menées, les mesures prises pour protéger votre enfant et les réponses proposées pour prendre en charge le problème.
Si la situation est avérée, l’établissement scolaire mettra en œuvre, avec vous, les solutions adaptées pour que votre enfant ne subisse plus cette violence.
Informez-vous régulièrement sur le suivi de la situation de votre enfant ainsi que sur les actions menées au sein de l’établissement pour lutter contre le harcèlement.
Contactez un délégué de parents d’élèves pour réfléchir au partenariat possible entre les parents d’élèves et l’établissement pour prévenir le harcèlement et améliorer les relations entre élèves.
Si vous hésitez à joindre l’établissement ou que la résolution du problème vous semble lente, vous pouvez contacter le référent harcèlement académique en utilisant le numéro vert 3020.
Votre enfant peut craindre de parler : rassurez-le, demandez-lui ce qu’il souhaite, expliquez-lui que les adultes sont là pour l’aider et faire cesser la violence qu’il subit.
Agissez pour que cette violence ne touche plus votre enfant ou d’autres enfants
Identifiez le plus précisément possible la nature des problèmes vécus par votre enfant. Dialoguez ouvertement pour connaître : faits et éventuels auteurs et témoins. Le harcèlement est souvent constitué de petits incidents qu’il est utile de mettre par écrit afin de mieux cerner la situation. Notez la date, l’heure, les personnes présentes, la description des faits, leur répétition, les réactions de votre enfant face à cette situation. Gardez aussi les preuves éventuelles du harcèlement subi, notamment sur les médias sociaux (capture d’écran…). Si besoin, faites-vous aider par un délégué des parents.
Ce qu’il est déconseillé de faire
Ne tentez pas de gérer vous-même le problème, ni de contacter l’auteur des faits : cela pourrait aggraver la situation.
Si vous avez besoin de conseils complémentaires, contactez le :
N° VERT « NON AU HARCÈLEMENT» : 3020
Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 20h et le samedi de 9h à 18h (sauf les jours fériés)
Mon enfant est victime de cyberharcèlement
Les enfants et les adolescents passent beaucoup de temps sur internet, sur leur téléphone et leur ordinateur. Ils échangent avec leurs pairs, notamment des contenus (images, vidéos, etc.), via les réseaux sociaux mais également les jeux en réseau.
Si votre enfant subit des violences sur internet (réseaux sociaux, courriel) et sur son téléphone portable, on parle de cyberviolences. Souvent, les violences en ligne s’enracinent dans des phénomènes de violence existant au sein du groupe de pairs. Si ces cyberviolences – insultes, moqueries, humiliations, menaces, diffusion de rumeurs et/ou d’informations à caractère privé, usurpation d’identité, etc.- sont intentionnelles et se répètent, on parle de cyberharcèlement.
Si votre enfant ne parle pas de violences subies mais qu’il se replie sur lui-même, s’il a des réactions inhabituelles lorsqu’il consulte son téléphone portable par exemple, s’il semble isolé, s’il est nerveux, anxieux, fatigué, s’il rencontre des problèmes de sommeil ou des troubles du comportement alimentaire, il peut être victime de harcèlement ou de cyberharcèlement.
Les conséquences du harcèlement et du cyberharcèlement peuvent être graves (isolement, perte de l’estime de soi, baisse des résultats scolaires voire décrochage, profond mal-être).
Aucun enfant, aucun adolescent ne doit subir cela, personne ne doit rester silencieux !
Que pouvez-vous faire ?
Il faut en parler pour trouver de l’aide et des solutions !
Signalez les contenus, les messages, les commentaires qui portent atteinte à votre enfant. La plupart des réseaux sociaux (Facebook, Instagram, Snapchat, Twitter, YouTube…) permettent de signaler les cyberviolences, mais les enfants et les adolescents ne le savent pas toujours. Si vous avez du mal à trouver les formulaires en ligne, vous pouvez vous connecter à la plateforme Pharos (www.internet-signalement.gouv.fr) ou au site Point de contact (www.pointdecontact.net) pour signaler les contenus illicites.
Prenez rendez-vous avec l’école, le collège ou le lycée de votre enfant afin de faire part de la situation, de manière détaillée. Généralement, le cyberharcèlement est lié à des violences entre pairs : des élèves peuvent être impliqués. L’équipe éducative pourra vous aider à prendre en charge la situation, à accompagner votre enfant et à trouver des solutions si ce sont d’autres élèves qui sont auteurs des cyberviolences.
Vous pouvez agir avec votre enfant en l’encourageant à parler de ce qu’il vit, en lui demandant ce qu’il souhaite.Vous pouvez lui expliquer que les adultes sont là pour l’aider et faire cesser les violences qu’il subit. Vous avez le droit de déposer plainte.
Agissez pour que cette violence ne touche plus votre enfant ou d’autres enfants
Identifiez le plus précisément possible la nature des problèmes vécus par votre enfant. Dialoguez ouvertement pour connaître les faits et les éventuels auteurs et témoins, qui sont parfois identifiables sur internet. Le cyberharcèlement est constitué de plusieurs types d’incidents : réalisez des captures d’écran des situations qui, en ligne, portent atteinte à votre enfant. Si besoin, faites-vous aider par un représentant des parents d’élève ou un membre de l’équipe éducative.
Ce qu’il est déconseillé de faire
Ne tentez pas de gérer vous-même le problème en contactant le ou les auteur(s) des faits : cela pourrait aggraver la situation.
Si vous avez besoin de conseils complémentaires, contactez le :
N° VERT « NET ÉCOUTE » : 3018
Gratuit, anonyme, confidentiel et ouvert du lundi au vendredi de 9h à 19h